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Tu ne me connais pas, alors laisse-moi me présenter :

  • Je m’appelle Orel Auwen, j’écris tous les jours sur le sujet des startups sur mon blog BinarProd.
  • J’adore la technologie.
  • J’aime le life hacking (Oui, je regarde des vidéos TED).

Et il y a un sujet qui m’intéresse tout particulièrement, c’est :

Les distractions.

Oui, oui ne fais pas semblant, je sais très bien que tu vas sur Twitter alors que tu devrais travailler.

De quoi ? Tu me dis que c’est de la veille ?

Oui, bien sûr, c’est de la veille.

Il faut bien savoir ce qui se passe dans l’actualité.

Et puis voir ce que les collègues ont posté.

Et puis voir quelques GIF de pandas qui dansent.

Et…. Attends quoi ?! Mark Zuckerberg avoue qu’il est reptilien ?!!

Bah, voilà, c’est ça une distraction.

Pourtant tout avait bien commencé, ta boite mail indiquait 0 mail non lu, la petite touillette était dans ta tasse de thé, la température de la pièce était à 21.5 degrés : tout était réuni pour bien travailler.

Pour être dans le flow, comme disent ceux qui regardent des conférences TED.

Malheureusement, il y a toujours ce truc qui t’empêche de faire ce que tu veux :

Que ça soit sur Facebook, Twitter, YouTube, Messenger etc…

Tous tes petits checks qui devraient durer 5 min maximum, durent en fait 1h minimum.

Impossible de naviguer sans se laisser entraîner de contenu en contenu et se retrouver 1h après sans savoir comment tu es arrivé là (sérieusement, “vous n’allez pas croire, ce que ce pigeon va faire !” ?)

Et tu as peut-être même envie d’aller sur ces sites, regarder quelques vidéos YouTube, aller voir un épisode d’une série sur Netflix… alors que tu ne devrais pas.

C’est d’autant plus difficile de résister quand on travaille avec internet.

Ne t’inquiète pas, tout est normal !

Oui, avoir ce comportement est normal, mais évidemment pas souhaité.

Pourquoi c’est normal ?

En fait, les sites comme YouTube, Facebook etc… sont aujourd’hui construits pour être addictifs.

Ces plateformes sont là pour stimuler la libération de ce qu’on appelle : la dopamine.

La dopamine, c’est ce qui te fait ressentir le plaisir.

C’est à cause de cette molécule en partie que quelque chose devient addictif.

Donc tu peux être addict à de la drogue, mais aussi à des sites internet !

Comment s’y prennent les équipes de ces plateformes pour stimuler la libération de dopamine ?

Il y a plusieurs techniques, mais en voici quelques-unes :

  • Les algorithmes choisissent exactement ce qui te plaît, dans le cas de Facebook, tu fais défiler un fil d’actualité, et à intervalles réguliers tu as des vidéos, ou des GIF, drôles souvent, et donc qui stimule ta libération de dopamine.
    En plus de ça le fil d’actualité est infini, ce qui fait que chaque vidéo ou GIF que tu vois te font ressentir un plaisir juste assez important pour continuer de scroller jusqu’à la prochaine vidéo ou au prochain GIF et ainsi de suite.
  • Ensuite, on fait en sorte que tu n’es pas besoin de volonté, sur YouTube une vidéo se joue automatiquement juste après la fin de la vidéo que tu viens de voir.Tu n’as pas besoin de faire consciemment le choix de regarder une nouvelle vidéo, YouTube le fait à ta place.

Donc tu regardes encore et encore des vidéos.

  • À chaque notification que tu reçois, tu te demandes si ça peut être important, peut-être que c’est lui ou c’est elle qui a commenté ou liker, il faut que je voie ça, et hop tu rentres dans l’application et tu es partie pour une session de 30 minutes minimum.

Mais pourquoi ces entreprises font ça ?

Non, je ne pense pas qu’elles veuillent conquérir la terre et détruire les êtres humains, la raison et beaucoup plus simple :

Ils ont besoin de ton attention !

Et pourquoi est-ce qu’ils ont besoin de ton attention ?

Pour te montrer de la publicité.

La majorité de ces grandes entreprises gagne de l’argent grâce à de la publicité.

Plus tu passes de temps sur leurs applications, plus elles peuvent te montrer de la publicité et plus elles gagnent de l’argent.

C’est aussi simple que ça !

Le souci, c’est qu’elles ne prennent pas en compte, la satisfaction de l’utilisateur à utiliser leur service.

Leurs critères de succès, c’est de te faire passer plus de temps sur leur service.

Et c’est un problème, parce que toi, ce n’est pas ce que tu veux faire.

  • Tu ne veux pas gâcher ta journée de travail à force de t’égarer sur Twitter ou Facebook.
  • Tu ne veux pas regarder compulsivement des vidéos sur YouTube ou Netflix.
  • Tu ne veux pas checker toutes les 5 secondes ta messagerie.

Pourtant tu le fais.

Et c’est bien ça, le problème.

Ces entreprises ont besoin de redéfinir leur critère de réussite, et peut-être même leurs business models.

Mais tout n’est pas perdu !

J’ai comme toi expérimenté ces distractions et c’est pour ça que je me suis documenté sur le sujet et que j’ai compris que tout avait était fait pour être rendu addictif.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des techniques, des bonnes pratiques que j’ai découvertes.

Donc, je me suis dit comment partager ça le mieux possible ?

Et j’ai décidé de créer Ultimato, qui permet en répondant à des questions, de cerner des composants de ton utilisation d’internet, de ton environnement… pour te proposer des techniques personnalisées pour stopper tes distractions.

Je pense que nous avons tous intérêt à apprendre à utiliser tous ces outils, pour éviter que ça soit eux qui se servent de nous, et que leurs rôles d’outil restent un rôle d’outil.

Quelques personnes commencent à s’alerter sur ce sujet, comme :

Mais, attention, je ne dis pas que la solution est d’éteindre son smartphone et son ordinateur et d’aller vivre avec des chèvres, NON !

Comme je l’ai dit au début : j’adore la technologie !

Je suis entrepreneur internet et je passe ma journée sur mon ordinateur.

Internet et super, on peut faire de super choses dessus.

Seulement, il faut apprendre à avoir de nouveaux comportements face aux nouveaux usages que l’on a.

Il ne s’agit pas de se couper d’internet, mais de mieux l’utiliser.

J’ai été très content de partager ça avec toi aujourd’hui, et je voudrais en profiter pour remercier Rémy qui m’a permis de m’exprimer sur son blog aujourd’hui : Merci beaucoup !

Si tu as la moindre question, où que tu as quelque chose à apporter, n’hésite surtout pas à laisser un commentaire !

@+, Orel.