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Aujourd’hui, j’accueille Cédric Debacq, qui souhaite partager avec vous son aventure entrepreneuriale. Bonne lecture !
 

Cela faisait un moment que je souhaitais rédiger un article sur mon aventure entrepreneuriale.
Pourquoi ? Tout simplement pour mettre sur papier les côtés négatifs et positifs de mon entreprise.
Je suis « Photographe Infographiste » indépendant depuis 2 ans. Ma passion pour la création de l’image par la photographie est là depuis 22 ans et elle évolue de jour en jour.

Photographe et designer

Photographe et designer

 

Les premiers temps

À mes débuts, le numérique et internet n’existaient pas. Pour apprendre la photographie, on devait utiliser des boîtiers reflex argentiques, on choisissait des pellicules couleurs ou noir et blanc pour effectuer nos reportages photo. Une autre époque !

Cette passion a évoluer avec le temps et j’ai commencé et me suis formé en collaborant sur différents projets (dans les domaines sportifs, médiatiques et événementiels).

 

Pourquoi avoir mis 22 ans pour devenir entrepreneur ?

Il n’y a pas vraiment d’école qui forme à devenir son propre patron. L’une des meilleures façons d’apprendre c’est de rencontrer des entrepreneurs qui partagent leurs expériences.

Ce qui m’a permis de me poser beaucoup de questions et de mûrir mon idée et de devenir à mon tour entrepreneur. L’envie était là, il fallait juste se lancer et tenter l’aventure.

D’ailleurs, la première fois où je me suis lancé en tant qu’entrepreneur, ce fût un échec.
Pourquoi ? Tout simplement par manque de maturité et parce que j’ai fait trop confiance à un ami-associé.

Il avait en charge la prospection et moi la partie conception de notre projet. Tout était prêt, nous avions suivi le chemin de la chambre des métiers, pôle emploi, etc.

Il nous a fallu 1 an pour tout mettre en œuvre, mais à la veille du lancement j’avais dit stop, car il a sous-estimé la partie prospection et financière de notre entreprise.

Il m’a par exemple posé la question « si dans 6 mois il n’y a pas de clients, qu’est-ce qu’on fera ?».

Pour moi, il n’y avait pas la différence entre maintenant et dans 6 mois à l’aube de cette première expérience. Tout était prêt, mais les actions à menées après le lancement n’était pas claires pour lui et il comptait un peu trop sur moi pour le faire.

On m’avait prévenu, il n’est pas toujours bon de se lancer dans les affaires avec un ami ou un proche (même s’il y a des exceptions).

 

Comment j’ai gardé mon envie d’entreprendre ?

Depuis cette première aventure, j’ai pris le temps de la réflexion et je me suis dit : « allez, tu l’as déjà fait, tu sais à quoi t’attendre et après tout une aventure sans prendre de risque ce n’est pas très drôle. »

Je suis de nature à faire en sorte d’obtenir ce que je désire. Durant mon enfance, je me disais déjà : « pourquoi pas moi ? Qui peut m’interdire de devenir mon propre patron ? Personne alors à quoi bon ne pas essayer ? »

Après tout, c’est en faisant des erreurs qu’on apprends, non ?

Début janvier 2012, j’ai commencé à me créer une visibilité sur internet et à mettre en avant mes compétences pour trouver des clients. J’ai appris à utiliser WordPress (un outil de création et gestion de site internet) et j’ai développé ma présence sur les réseaux sociaux, sachant que j’y étais inscrit depuis 2009.

De janvier à juin 2012, j’ai construit pas à pas ma communauté en même temps que mon portfolio. J’ai trouvé des clients et j’ai commencé à vendre mes prestations.

Pour vous donner une petite idée de mon trafic internet, je compte actuellement 15 330 visites depuis janvier 2013 dont 12 625 visiteurs uniques et 27 060 pages vues.

Peut-être que cela est peu ou pas assez ? Mais dans tous les cas, cela demande du travail et cela ne s’invente pas.

 

Mon état d’esprit entrepreneurial

En deux années, je me suis construit ma visibilité et je suis devenu entrepreneur. J’ai réalisé de magnifiques collaborations et d’autres projets sont en cours et je continue à développer mon réseau.

D’ailleurs, je tiens à remercier Rémy de publier mon article sur son site ainsi que tous ceux qui collaborent et échangent avec moi au quotidien.

Aujourd’hui, dans la continuité de mon développement et celle de mon entreprise, je travaille pour améliorer ma prospection commerciale et contre un ennemi que je ne connaissais pas jusque là : la solitude de l’entrepreneur.

 

Le syndrome de la solitude de l’entrepreneur

Je travaille depuis chez moi, par choix économique et aussi, car je suis en zone rurale, loin des grandes métropoles. Ce n’est pas tous les jours simples de pouvoir discuter et d’échanger avec d’autres entrepreneurs.

Même si internet le permet, il est quand même intéressant d’avoir d’autres entrepreneurs autour de vous pour discuter et partager vos expériences. Les espaces de coworking ou les pépinières d’entreprise sont 2 solutions intéressantes que je vais explorer.

 

Améliorer ma prospection commerciale : trouver plus facilement mes clients

Pour ma deuxième expérience en tant qu’entrepreneur, je me suis lancé seul dans l’aventure. J’ai d’ailleurs cette fois-ci mis de côté l’aide de la chambre des métiers et celle du pôle emploi.

J’ai un diplôme de photographie en poche et une soif d’apprendre. Je suis autodidacte, d’ailleurs c’est comme cela que j’en suis arrivé où j’en suis aujourd’hui.

Je l’avoue avec fierté !

Et pour continuer cette aventure entrepreneuriale, il faut que je parvienne à mieux prospecter.
Jusqu’à présent, le bouche à oreille à bien fonctionné, mais ce n’est plus suffisant.
C’est mon chantier le plus urgent, il faut que je m’attelle à la tâche pour continuer ma belle aventure !

Je terminerai cet article en disant que je suis ouvert à toutes propositions, n’hésitez pas à me coseiller ou à me proposer de nouveaux projets !


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