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Devenir un entrepreneur comporte bien des risques, des hauts et des bas comme on dit. C’est rarement une partie de plaisir, un long fleuve tranquille où toutes les routes sont dessinées à l’avance. Si c’était cela, l’entrepreneuriat connaîtrait un succès foudroyant et tout le monde se serait mis à son compte ou aurait créé sa société.

Echec et réussite

La réussite d’une entreprise ne dépend pas du talent (pas toujours) mais d’une certaine discipline, d’une compréhension du monde qui nous environne, d’une petite touche de chance et de beaucoup de travail. Etre entrepreneur, c’est savoir s’adapter, c’est vouloir apprendre et comprendre mais c’est aussi accepter les échecs comme les réussites.

S’il y a bien un exemple d’un entrepreneur qui a connu des échecs et des succès monumentaux, c’est monsieur Steve Jobs.
Dès que l’on évoque le nom d’Apple, d’iPhone, d’iPod, l’homme à la pomme est devenu une référence, un exemple, une illustration parfaite des aléas que peut traverser un entrepreneur, de là à même en jouer et à les exposer au monde.

Mais ce génie n’a pas connu une telle gloire spontanément, l’homme a du traverser de nombreuses épreuves qui ont forgé son caractère, mais aussi sa volonté, sa créativité, son ambition.

Aux Etats-Unis, la notion d’échec peut être relative car elle est aussi signe de possible rebond et celui de Steve Jobs fut incroyable.

Le plus gros ?

Le premier écueil pour Steve Jobs, c’est son éviction de la marque Apple alors qu’il l’avait créée avec Steve Wozniak : à l’âge de 30 ans, après avoir inventé ce qui allait devenir le 2nd empire informatique du monde, voilà que Steve Jobs se retrouve au chômage. Une blessure béante car l’homme se sent dépossédé de sa création, d’une part de lui.
A ce moment là, il dira : « C’est ainsi qu’à 30 ans je me suis retrouvé sur le pavé… j’étais en miettes. Je me sens comme quelqu’un qui a pris un coup de poing à l’estomac et qui a le souffle coupé. J’ai seulement 30 ans et je veux à nouveau avoir la possibilité de créer des choses. Je sais que j’ai encore en moi un autre grand ordinateur. Et Apple ne va pas me donner la chance de le fabriquer ».

D’autres moments négatifs viendront bien entendu mais l’homme sait rebondir, trouver des opportunités, s’adapter au contexte ambiant, et surtout anticiper, prévoir les besoins du futur.
C’est ainsi que Steve Jobs sera intégré dans Apple et va mettre toutes ses idées au service de son entreprise et de ses visions. Il dira à un moment au Wall Street Journal : « Je suis la seule personne que je connaisse qui a perdu un quart de milliard de dollars en un an, ça forge le caractère ».

Même les plus visionnaires d’entre nous échouent, ça donne à réfléchir… N’est-ce pas ?