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C’est une blague ?
La France, l’Europe, les USA, l’Angleterre, et tout le reste du club veulent maintenant réguler l’intelligence artificielle. Comme si c’était aussi simple que de rédiger une nouvelle loi sur les heures de travail.

Rappelons quelques faits

On parle là de ceux qui, lorsqu’ils avaient Zuckerberg devant eux, lui demandaient des éclaircissements sur des détails aussi fondamentaux que la connexion Wi-Fi de Facebook. C’était un spectacle à la limite de la farce, une démonstration éclatante de leur compréhension superficielle de la technologie numérique. Et maintenant, ils veulent se lancer dans la régulation de l’IA ? C’est comme confier la direction d’une mission spatiale à quelqu’un qui a du mal à utiliser un GPS.

Ces ‘experts’, engoncés dans leurs costumes de bureaucrates, prétendent maintenant comprendre et réguler un domaine qui les dépasse à l’évidence. Ils sont tellement déconnectés de la réalité technologique actuelle que l’on pourrait croire qu’ils découvrent tout juste le monde au-delà du fax et du téléphone fixe.

Les exemples concrets récents

Récemment, nous avons assisté à des avancées significatives dans la régulation de l’intelligence artificielle (IA) à l’échelle mondiale. Un exemple notable est l’accord signé par des représentants et des entreprises de 28 pays, dont les États-Unis, la Chine et l’Union Européenne (UE).
Cet accord vise spécifiquement à lutter contre les risques associés aux modèles d’IA​​. En Europe, le Parlement européen a franchi une étape majeure le 14 juin 2023, en adoptant sa position de négociation sur la loi sur l’IA.
Cette initiative marque le début de discussions approfondies entre les pays de l’UE pour déterminer la forme finale de cette législation​​.
Amnesty International a souligné l’importance de cette loi, en insistant sur la nécessité pour l’UE d’interdire les technologies dangereuses basées sur l’IA, une réglementation qui serait la plus exhaustive au monde​​.
Cette dynamique réglementaire est renforcée par l’adoption d’une norme mondiale sur l’éthique de l’IA par les États membres de l’UNESCO, constituant la première réponse globale aux défis éthiques posés par l’IA​​.

Hypocrisie autour de l’IA

N’entendez-vous pas le son des tambours ? C’est l’hypocrisie qui danse au rythme des déclarations de régulation. Tous ces pays, s’engageant soi-disant dans une course vertueuse pour maîtriser l’IA, sont les mêmes qui en coulisses se bousculent pour développer les systèmes d’IA les plus sophistiqués, pour l’avantage de leurs armées et économies. Une comédie d’hypocrisie, où chaque acteur joue son rôle avec un sourire de circonstance.

Et puis, ces traités, ces accords internationaux – ne sont-ils pas d’une ressemblance frappante avec les traités sur la non-prolifération nucléaire ? Des papiers signés avec ferveur, mais dont l’encre n’est même pas sèche que déjà, les exceptions et interprétations libres se multiplient. La réalité est là, tranchante comme une lame : ces documents sont souvent plus symboliques que contraignants.

Comment réguler correctement l’intelligence artificielle ?

Maintenant, posons-nous la vraie question : qui devrait vraiment être assis autour de cette table ronde sur l’IA ? Certainement pas ceux qui sont encore éblouis par la lueur d’un écran tactile. L’IA, ce n’est pas juste une question de programmation et d’algorithmes ; c’est l’avenir de nos sociétés, de nos économies, de nos vies. Et 2024, cette année qui se profile à l’horizon, s’annonce comme un tournant, un carrefour où les chemins de l’innovation et de la régulation vont se croiser, pour le meilleur ou pour le pire.

Le grand débat sur l’IA !

Régulation de l’IA : fiction, utopie ou réalité inévitable ? Quel sera le prochain acte de cette pièce aux multiples rebondissements ?
On en parle dans le grand débat IA du 20 Décembre disponible ici !